C'est ce qu'attestent de nombreux articles parus récemment sur le sujet (voir plus bas).
Deux tendances semblent s'opposer :
- d'un côté, les DRH semblent conscients du potentiel de ces outils pour la notoriété de l'entreprise
- de l'autre, les directions craignent des dérives vers les usages personnels des principaux réseaux
De là deux types de réactions radicalement opposées. Alors que certaines entreprises cherchent à intégrer des solutions en interne pour développer les communications au sein même de l'entreprise (voir les partenaires du Club Alliances, Talentsoft et CA2I), d'autres choisissent de verrouiller (ou réglementer) les accès aux sites les plus fréquentés (linkedin, viadeo, facebook, twitter...).
Et qui sait : il n'est pas exclu que ce soient parfois les mêmes.
Au delà de l'aspect "accès", d'autres questions se posent :
- faut-il, par exemple, imposer et formater la présentation de chaque collaborateur sur le réseau ?
- et si oui, est-ce juridiquement possible ?
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pour en savoir plus :
> USA : les DSI interdisent l'accès aux réseaux sociaux
> Les entreprises veulent encadrer l'usage des réseaux sociaux
> Quels risques pour les entreprises avec les réseaux sociaux ?
L’Anvie organise à partir du 18 février 2010 un groupe de travail intitulé « Réseaux sociaux, Web 2.0 et GRH : quelles conséquences pour la marque entreprise et le management ? » qui s’attachera, à travers les témoignages croisés de chercheurs et de représentants d’entreprises (Société Générale, Pricewaterhousecoopers, SAP, Dassault Systèmes…), à comprendre dans quelle mesure les usages 2.0 remettent en question les process RH traditionnels et le management, et si l’entreprise peut en faire une opportunité pour renouveler ses relations avec ses collaborateurs actuels et futurs.
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